25 août 2009
Un casque par deux fois percé
J’imagine un soldat
Des blessures par balles
Celles d’un homme,
Certainement fatales…
Une guerre de trop!
Ce fut aussi un casque pot de chambre
Raconte ce gars de la montagne.
Le casque est suspendu,
Sur le poteau devant le vieux poulailler
Abandonné, vide, mais si plein de passé.
Une existence abandonnée,
Sur le poteau
D’une cabane en bois usé
Toutes clouées de clous rouillés !
Pendant mes petites vacances dans les Pyrénées, j’ai souhaité vous faire partager une petite trouvaille…
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