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Le journal de Magel !
18 mars 2009

SURF

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Clark Little, un photographe spécialisé dans les clichés de vagues, vient de publier un livre regroupant les plus belles qu'il ait jamais vues. Je lissais ça le 9 mars dernier sur un article de l'actu de Yahoo et j'ai voulu en savoir plus. Surfer, surfer sur la vague, surfer dans le creux de la vague!...
La solution: Internet, lol!
Faute de shore break! Et puis je passe trop de temps sur Face de Bique en ce moment! Va falloir que je me calme, lol!

Le terme "shore break" (Rouleau de bord, la vague qui casse au bord, méchante quand elle est grosse!) est un anglicisme utilisé notamment par les surfeurs pour désigner un type de vague très particulier: une vague très puissante qui a la particularité d'éclater près du rivage (et donc dans très peu d'eau). Ce type de vagues qui se forment généralement à marée haute. À hauteur comparable, une shore break sera plus puissante et plus épaisse qu'une vague éclatant au large. Une telle vague a aussi la caractéristique d'être très rapide entre le début du déferlement, et le moment ou elle éclate.
Les plus gros shore break du monde comme ceux de Waïmea Beach (Oahu, Hawaii) ou The Wedge (Newport Beach, Californie), sont des vagues qui peuvent facilement dépasser 5 mètres de haut et éclater dans une profondeur de 60 centimètres. De plus ces vagues éclatent à moins de 20 mètres du bord. Ils sont réservés à un niveau de pratique excellent (et à une certaine inconscience, au vu de l'intensité des chutes, qui surviennent presque à chaque vague prise).
En France, les shore break les plus impressionnants se trouvent dans le Sud-Ouest, sur la côte Atlantique. Hossegor, Ondres (Landes) ou Anglet (Pyrénées-Atlantiques) peuvent produire des shores break dévastateurs (une des premières causes d'intervention des sauveteurs sur les plages).

On a souvent tendance à confondre le terme "shore break", avec "beach break" (vague qui se forme sur un fond sablonneux), ou "reef break" (vague qui se forme sur un fond rocheux ou de coraux).

Clark “Turbo” Little qui a construit sa réputation de surfeur en se jetant à corps perdu dans les close-outs du shorebreak de Waimea Bay. On peut le voir en action à la page 66 du Surfers’ Survival Guide dédiée aux accidents de shore break justement. Comme le shore break manquait à Clark, il a réussi sa reconversion en tant que photographe…de shorebreak! Quand on voit les clichés insensés qu’il prend on se demande dans quelles mauvaises postures il doit se mettre pour prendre ses photos...
Laurent Masurel nous avait déjà expliqué les risques du métier de photographe de surf aquatique mais alors là, avec la photographie de shore break on dépasse les bornes de la prise de risque pour obtenir des photos originales!

D'autres images à voir
http://photosurfeuskadi.canalblog.com/
http://blog.francetv.fr/BODYBOARD/index.php/
http://yannick.del.free.fr/Galerie%20photo%20Yannick.D/SURF%20ET%20GLISSE/PHOTOS%20GLISSE%20BRETAGNE/Surf%20et%20body/SESSIONS%202009/GUIDEL%20SHOREBREAK%2012%20fev%202009/index.html

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